samedi 4 décembre 2010

COMMUNIQUE DE PRESSE POUR LE VENDREDI 10 DECEMBRE

Veillée de solidarité avec les militants de la Fédération des Pays Asiatiques pour les Droits de l’Homme pour le respect des libertés et de la démocratie en Asie et pour la libération du prix Nobel de la Paix 2010, Monsieur Liu Xiaobo.

Le vendredi 10 Décembre 2010 de 18h30 à 21h00, Parvis de Droits de L’Homme, Place du Trocadéro, Paris, M° Trocadéro (Ligne 9).

La Fédération des Pays Asiatiques pour les Droits de l’Homme (FPADH) a accueilli avec joie deux bonnes nouvelles au cours de l’année 2010 à savoir, la libération de Madame Aung San Suu Kyi, symbole de la lutte pour la démocratie en Birmanie, et l’attribution du prix Nobel de la paix 2010 au dissident chinois Monsieur Liu Xiaobo emprisonné par son gouvernement , pour sa contribution non-violente pour la démocratisation de Chine.

Monsieur Liu Xiaobo est connu pour son initiative : Charte 08 appelant à la démocratisation de la Chine. Il est désormais devenu le symbole incontournable de la lutte pour la démocratie en Chine et le monde entier réclame sa libération immédiate sans condition.

En occident, nous nous rendons compte que "la République populaire de Chine" demeure encore un régime communiste et autoritaire qui n’a pas honte de garder en prison le lauréat du prix Nobel de la Paix 2010,

La Chine communiste se moque royalement de Monsieur Liu Xiaobo et de l’opinion internationale. C’est la raison pour laquelle Monsieur Lech Walesa, chef historique du syndicat polonais Solidarité, a déclaré "qu’il était prêt, avec d’autres lauréats du prix Nobel de la Paix, à représenter symboliquement monsieur Liu Xiaobo, aux cérémonies officielles de la remise de ce prix à Oslo".

Tous les démocrates asiatiques de France seront rejoints par les associations de la défense des droits de l’homme ainsi que par les concitoyens pour la veillée rendant hommage aux courages et aux sacrifices des hommes et des femmes pour la liberté dans leur pays d’origine respectif.

En cette journée du 10 décembre 2010 marquant le 62eme anniversaire de l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948), nous lançons un appel solennel de mobilisation collective pour la libération de tous les prisonniers politiques en Asie et le rétablissement de la liberté d’expression dans tous les pays de l’Asie.

Appel lancé par la Fédération des Pays Asiatiques pour des Droits de l’Homme (FPADH) soutenu par les Communautés birmane, tibétaine, vietnamienne, Turkestan oriental(Ouïghour), le Parti des Démocrates Chinois d’Outre-mer, Club des Taïwanais.

Venez nombreux

vendredi 3 décembre 2010

jeudi 11 novembre 2010

APPEL A RASSEMBLEMENT POUR LA LIBERATION D’AUNG SAN SUU KYI

ANNONCE PRESSE
10 novembre 2010

APPEL A RASSEMBLEMENT

POUR LA LIBERATION D’AUNG SAN SUU KYI

Selon plusieurs sources non officielles, la Lauréate du Prix Nobel de la Paix et opposante birmane Aung San Suu Kyi doit être libérée le 13 novembre prochain. A cette occasion, des associations engagées en faveur des droits humains et de la démocratie en Birmanie*, en partenariat avec la Mairie de Paris, appellent à un rassemblement de soutien pour sa libération :

Samedi 13 novembre à 14h45

Parvis de l’Hôtel de ville, Paris 1er

en présence

de Monsieur Bertrand Delanoë, Maire de Paris,

de Monsieur Pierre Schapira, adjoint au Maire de Paris, chargé des Relations internationales, des Affaires européennes et de la Francophonie,

de Madame Yamina Benguigui adjointe au Maire de Paris, chargée des droits de l'homme et de la lutte contre les discriminations

de personnalités publiques soutenant l’appel à la libération d’Aung San Suu Kyi

parmi lesquelles Alain Chamfort, Zoé Valdès et Fabell

et des représentants de toutes les associations signataires de cet appel

Par ce rassemblement, les associations appellent à :

· La libération effective et inconditionnelle d’Aung San Suu Kyi

· La libération effective et inconditionnelle de LA TOTALITE des 2200 prisonniers politiques du pays

· La dénonciation du processus électoral et du résultat des élections du 7 novembre dernier, visant à pérenniser et légitimer la dictature militaire au pouvoir, élections qui n’étaient ni libres ni justes, et ne représentaient pas la volonté du peuple

· Le maintien d’une pression forte sur la junte jusqu’à une réelle avancée démocratique

· La non-reconnaissance de la Constitution de 2008, écrite entièrement par les Généraux et qui garantit aux militaires une impunité qui ne saurait être tolérée

· La mise en place d’une Commission d’enquête internationale sous l’égide de l’ONU pour mettre fin à l’impunité dans les cas de crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en Birmanie

Si Aung San Suu Kyi est réellement libérée, le pouvoir militaire birman voudra sans doute faire passer cette décision pour un geste de bonne volonté. Il n’en est rien. Sa remise en liberté interviendra simplement au terme des 18 mois supplémentaires d’assignation à résidence auxquels Aung San Suu Kyi a été condamnée à l’été 2009, à l’issue d’un procès inique. Il ne s’agit donc pas d’une amnistie ni d’un quelconque geste de mansuétude.

La libération d’Aung San Suu Kyi est attendue de tous et aura une portée considérable. Cependant, il est à craindre que sa liberté de mouvement et de parole soit limitée et qu’elle ne suffise pas à garantir une avancée démocratique significative dans le pays :

· Le principal parti d’opposition qu’elle dirige, la Ligue Nationale pour la Démocratie (LND), a été officiellement dissous, pour n’avoir pas voulu cautionner le processus électoral du 7 novembre.

· 2200 prisonniers politiques, membres de la LND et dirigeants ethniques, croupissent toujours dans les geôles birmanes en vertu de lois iniques.

· Le pouvoir militaire birman espère, en échange de sa libération, un apaisement de la pression internationale et une acceptation du résultat des élections.

*Amnesty International France, Info Birmanie, Reporters Sans Frontières, Fédération Internationale des Ligues des Droits de l’Homme (FIDH), Human Rights Watch, la communauté birmane de France, Collectif France Aung San Suu Kyi, Ligue des Droits de l’Homme (LDH), Alliance des Femmes pour la Démocratie, Femmes Solidaires, Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté (LIFPL)

Contacts des associations :

Amnesty International France : Aurélie Chatelard / Alizée Genilloud - 01 53 38 66 23 / 06 76 94 37 05 – spresse@amnesty.fr

Info-Birmanie : Isabelle Dubuis – 06 83 37 80 38 – info_birmanie@yahoo.fr

Reporters Sans Frontières : Alexandre Jalbert – 01 44 83 84 84 – presse@rsf.org

FIDH : Karine Appy / Fabien Maître – 01 43 55 14 12 – kappy@fidh.org / fmaitre@fidh.org

Human Rights Watch: Jean-Marie Fardeau – 06 45 85 24 87 - fardeaj@hrw.org

La communauté birmane de France : Htin Kyaw Lwin – 06 31 11 28 62 htinkyaw9954@hotmail.com

Collectif France Aung San Suu Kyi : Pierre Martial – 06 13 42 50 15 – pierre-martial@live.fr

Ligue des Droits de l’Homme (LDH) : Anne Garacoïts – 01 56 55 51 08 – anne.garacoits@ldh-france.org

Alliance des Femmes pour la Démocratie : Catherine Guyot – 06 85 40 35 66 – catherine.guyot@gmail.com

Femmes Solidaires : Carine Delahaie – 06 76 71 08 54

Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté (LIFPL) : Marlène Tuininga – marlenetuininga@dbmail.com

Contact de la Mairie de Paris :

Service Presse : 01 42 76 49 61

jeudi 4 novembre 2010

COMMUNIQUE DE PRESSE

La junte organise les élections pour le 7 novembre. Il y a bien eu les élections en 1990. Et pendant ces élections le peuple a voté librement et la LND (Ligue Nationale pour la Démocratie) a emporté en majeure partie. Mais la junte n’a pas transféré le pouvoir et ils ont utilisé tous les moyens pour continuer à garder le pouvoir.
En 1988 la junte a pris le pouvoir par un coup d’état et pendant ces 22ans, la junte a essayé par tous les moyens d‘éliminer toute opposition. Plus de 2100 prisonniers politiques dans les prisons de Birmanie en toute souffrance et subissent la torture. Y compris Aung San Suu Kyi, qui a été assignée en résidence surveillée et elle a passé plus de 15 ans en résidence surveillée. Pendant ces 22 ans, les élus ont été obligés de quitter la Birmanie, car la junte peut accuser tout opposant sans raison valable et le condamner à vingt ans de peine de prison au minimum.
Ces élections font partie de dernière étape de « feuille route » pour la Démocratie dirigée par la junte. Le référendum pour la Constitution a été voté au péril des sinistrés de NARGIS en 2008 par tricherie.
Ces élections donneront une chance de légitimer la junte au pouvoir et elles ne seront pas une solution pour la situation politique en Birmanie. Non seulement la LND a boycotté ces élections, il n’y a aucun partie des minorités ethniques qui ont signé un cessez-le-feu qui participent à ces élections. Pendant ces 22 ans, la junte a tout préparé pour gagner ces élections, il n’y a aucun garant que la junte transférera le pouvoir au parti gagnant.
La junte ne laisse aucune chance de vérifier ces élections, ni aux médias étrangers, ni aux journalistes birmans, aucun étranger ne sera présent. Toute communication avec l’étranger a été coupée et la Birmanie reste isolée pour ces élections. Sans surveillance comment saura-t-on que ces élections seront fiables ?
En plus de cela, pour ces élections toutes les personnes n’ont pas le même droit pour le vote, car pas de vote pour plus de 3000 villages à majorité ethnique. On sait déjà que le résultat de ces élections ne sera pas une surprise, car le parti militaire l’USDP a utilisé tous les moyens pour avoir la victoire. L’USDP a fais des chantages pour avoir les votes. Il y a 330 sièges au parlement mais l’USDP présente déjà 314 candidats, c'est-à-dire plus de 95% dans ces élections pour 75% de sièges parlement. Il y a 30% de tous les autres partis dans ces élections pour 75% de sièges au Parlement. Il y a 168 sièges au parlement National, l’USDP en occupera 159, c’est-à-dire 95%, tous les autres partis occupent 20% pour 75% des sièges au Parlement National. Mais il y a 25% des sièges aux deux parlements qui seront réservés à l’armée sans élections.
Selon la Constitution du 2008 il n’y a aucune chance que ce soit un gouvernement civil, car le choix du Président est basé sur de longuess années d’expérience militaire. Nous, les opposants birmans en exil boycottons ces élections.
En tout cas ces élections sont injustes et anti-démocratique pour le peuple birman.
La Birmanie et le peuple birman ont besoin de « La Commission d’Enquête Internationale » sous l’égide de l’ONU. Car pendant ces 22 ans de prise de pouvoir, la junte a violé les droits humains officiellement sans souci, et cela continue.
Il faut libérer les prisonniers politiques y compris Aung San Suu Kyi, il faut entamer le dialogue avec les forces démocratiques, et les représentants des minorités ethniques.
LA COMMUNAUTE BIRMANE DE FRANCE

Les ONG participantes INFO-BIRMANIE, la FIDH, LA FEDERATION DES PAYS ASIATIQUES POUR LES DROITS DE L’HOMME,ALLIANCE DES FEMMES POUR LA DEMOCRATIE .

Date : Le Dimanche 7 Novembre 2010
L’heure : De 15h au 17h
Lieu : TrocadéroM° Trocadéro

mardi 22 juin 2010

La dance avec des bougies pour la paix et Aung San Suu Kyi
Union danse....

Les danseuses en costumes des ethniques


La communauté Birmane de France Mr. Htin Kyaw Lwin



On prie pour que le peuple birmane soit loin des souffrance.............;
Ces sont des photos de la célèbration de 65 ans d'Aung San Suu Kyi, organisé à Paris samedi 19 juin. Merci de votre présence.