samedi 6 décembre 2008

D'anciens dirigeants pressent Ban Ki-moon d'aller en Birmanie
NATIONS UNIES (Reuters) -

Plus de cent anciens chefs d'Etats ou de gouvernements du monde entier ont écrit au secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon pour lui demander de se rendre en Birmanie, afin d'y appeler à la libération des prisonniers politiques.Dans cette lettre, diffusée par deux groupes de défense des droits de l'homme, 112 anciens dirigeants appellent Ban à concrétiser son projet de se rendre en Birmanie avant la fin du mois de décembre, pour son deuxième voyage de l'année dans le pays.
Un tel déplacement "laisserait le monde voir si le régime militaire birman est résolu à apporter les changements demandés par le conseil de sécurité des Nations unies et vos bons offices", peut-on lire dans ce document.La lettre indique que depuis juin 2007, le nombre de prisonniers politiques en Birmanie est passé de 1.200 à plus de 2.100. La chef de file de l'opposition Aung San Suu Kyi est la plus célèbre de ces détenus.
Parmi les signataires figurent les anciens présidents américains George H.W. Bush et Jimmy Carter, les anciens Premiers ministres britanniques Tony Blair, John Major et Margaret Thatcher et l'ex-dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev.Trois Français ont également signé cette lettre: les anciens Premiers ministres Lionel Jospin et Michel Rocard, ainsi que l'ex-président de la Commission européenne Jacques Delors.
L'initiative émanait de l'ancien Premier ministre norvégien Kjell Magne Bondevik, et la lettre a été publiée par son ONG, le Centre d'Oslo pour la paix et les droits de l'homme, ainsi que par Freedom Now.
De source diplomatique, on indique que Ban hésite à retourner en Birmanie sans l'assurance que sa visite serait suivie de la libération de prisonniers politiques."Nous vous demandons d'affirmer clairement que tous les prisonniers politiques de Birmanie doivent être libérés avant la fin de l'année, que vous vous rendiez dans le pays ou pas", demandent également les signataires de la lettre.
Patrick Worsnip, version française Gregory Schwartz

mardi 11 novembre 2008

COMMENT CA MARCHE LA JUSTICE EN BIRMANIE??????

Depuis toujours , la junte n'arrête pas de dire au monde entier que il n'y a pas de prisonnier politiques en Birmanie........et même Aung San Suu Kyi a été en résidence surveillant pour sa sécurité.
Mais depuis quelques semaine, dans le prison de Insein, les prisonniers politiques vivent en enfer y compris avec leurs avocats.
Rappelant un peu des faits, peu avant la révolution Saffron de l'année dernière, les étudiants de la génération 88 et quelques civiles ont marché dans le but de montrer que la hausse des prix des caburant ne permettent pas au quotidien des birmans de pouvoir survivre.
Peu de temps après , Ko Min Ko Naing, Ko Ko Gyi et près de trentaines de la génération 88 ont été arrêté sans motifs et mis en Prison. Pendant plus de dix mois leurs arrestation n'ont pas été jugés........mais ils ont étaient traité comme des prisonniers politiques.
En plus, au moment de leurs procès; leurs avocats ne peuvent pas questionner librement aux témoines de la junte, leurs familles ne peuvent pas assiter aux procès.
Ce sont des raisons qui ont fait aux prisonniers de ne plus suivre aux procès et de ne pas croire en justice, ils demandent leurs avocats de ne plus suivre le procès,,,,,,,,voilà le résultat....
Quatre avocats des prisonniers politiques ont été arrêté, plus de 4 mois de peine de prison, parce que leurs client demandent de ne plus suivre le procès injuste.Cet exemple fait aux autres avocats de ne plus defendre tout opposant .Il n'y a pas d'égalité dans la justice en Birmanie.....c'est pour cela La Commission des droits del'homme en Asie demande aux avocats internationaux de faire la demande de la libération de ces 4 avocats.
Ko Minn Ko Naing et cinq autre chefs étudiant ont été transféré au prison de MAUPIN et plus de six mois de prison.
Et pour couronné tout, pendant l'arrestation de leurs avocats, la restes des prisonniers politiques ont été jugé sans la présence de tierce personne, minimum 65 ans de peine de prison pour chaqu'un de 14 étudiants de la génération 88.
Aussi, le bloggeur Nay Phone Latt a été jugé de 20 ans de peine de prison.
Même les moines et les nonnes ont été jugé des peines de prison minimum 19 ans.
C'est un avertissement pour tout opposant que, il ne faut pas défier à la junte, car ils n'ont pas seulemnt des armes contre sa peuple mais la justice est dans leur main pour régner la dictature dans le pays......et pour la junte, c'est un pas vers la Démocratie sans aucun prisonniers politiques en Birmanie.

Les noms de trois avocats
U AUNG THEIN
U NYI NYI HTWE (6 mois de peine de prison)
U KHIN MAUNG SHEIN

La quatrième essaie de s'en fuit
U Saw Kyaw Kyaw Minn

Jusqu'à maintenant la pression internationale sur la junte ne change rien la situation en Birmanie pour la Démocratie, parce qu'il n'y a pas de sanction important sur la junte militaire; donc la junte s'en fou la communauté international. La communauté international est responsable pour défendre Les Droits de L'Homme et la Démocratie en Birmanie.

jeudi 16 octobre 2008

Dans les prison en birmanie; les prisonniers politiques sont mal traités depuis plus de dixaines années. Récement un membre de NLD a contaminé le virus de SIDA.
Les medecins dans les prisons traite différament les prisonniers politiques.
Au lieu de donner le permis de faire livrer des seringues jetables par les familles; ils utilisent des seringues contaminé.
Comme ce prisonnier politique n'a pas des moyens pour se soigner, c'est NLD(pegu, yangon division) qui prends soins pour lui (frais de santé) .
Cela montre bien que tout les membres de NLD sont des pires ennemies pour la junte.

Il y a peu de temps, un membre de Generation Wave a été arrêté et emmené avec des manottes depuis chez lui, à cause de la distribution des tracts contre la junte.

KO KYAW THU MYO MYINT a KO ARNAR
membre de Generation Wave arrêté le 13 octobre.

KO AUNG THAN
membre de NLD qui a contaminé le virus de SIDA
il n'est pas la seul dans ce cas............

jeudi 25 septembre 2008

Les consequences de la libération des prisonniers
Au début de la semaine la junte a libéré plus de 9002 prisonniers dont seulement 9 prisonniers politiques et les restes sont les prisonniers criminales.

Alors pourqoui cette libération et quelles sont les conséquences?????
Tout simplement pour que la pression international diminue, la junte a montré sa bonne volonté en libérant U Win Tin et huit autres prisonniers politiques parmi ces 9002 libérations.
La vrai raison est que faire libérer les prisons pour pouvoir mettre les opposants, les militants et les prisonniers politiques.
Car après un an de la révolution saffron, le nombre des prisonniers politiques a doublé et sans cesse.
En plus de cela, l'armé équipe avec ces prisonniers criminals pour les prochains jours;si jamais il y aurait une manifestation ou un défilé , des participants sera massacré par les prisonniers qui viennent de sortir de prisons.
Car la junte payera et fournira ces gens là pour ces occassion.
C'est comme ça que la famaus association UNSDC a été créé.
Ces gens là n'ont peur de rien et prête à tout.
Alors tout ceux qui facilitent la libération des neuf prisonniers parmi 9002 libération encourage le massacre du 50 millions birmans. Chaque geste de la junte a sa raison, donc n'espèrer jamais que la junte montrera sa bonne volonté.

vendredi 19 septembre 2008

Septembre 2007- Septembre 2008

Cela fait déjà un an que la revolution Saffron a commencé. Je dis bien commencé, car ce n'est pas encore terminer, tant que la junte ne demandera pas Pardon aux moines.
La révolution saffron était la grande défilé pacifique dans les rues par les moines, qui ont été abattu par la junte.
Certaines moines ont en prison, certaines ont disparus et encore les sacrifices des vies humaines.
C'était une grande défilé des moines et des civiles depuis 1988, tout simplement pour demander les conditions des vies meilleurs.
Avant la révolution Saffron, il y a près de mille prisonnier politiques, mais pendant un an le nombre des prisonniers politique a doublé. La junte ne cesse d'arrêter tout personnes suspects y compris les moines.
Même les civiles n'osent plus faire des offrandes car tout personnes entrent au monastère deviennent suspect. les monastères ont pris d'assut en pleine nuit par l'armé, les offrandes de la monastère ont prise même l'argent des donnation.
Même ces pressions fait par la junte, les moines ont les premières qui donnent secours au sinistrés de NARGIS.
Alors, mêm si il n'y a plus de défilé, les moines ont toujours en mouvement car ils exerce "PATTA NAT KUZA NA KAN", c'est à dire ne pas accepter tout offrande par les autoritaires.
N'oublions pas......La revolution Saffron est un pas pour la Democratie en Birmanie.

mercredi 13 août 2008

A BOGALAY, dans la région où le cyclone a dévasté il y a eu une grande arnaque aux sinistrés.

L'entreprise " HTOO" , donc l'entrepreneur millionnaire TAYZA, qui est le gendre de Général THAN SHWE, a eu des contarts pour la reconstruction de la ville sur le plan immobilier.

Cet entreprise a utilisé des sinistrés comme ouvriers, et revendre les maisons construites par ces ouvriers ,de crédit sur trois ans.Mais sans régler les maind'oeuvres, sans payer les travailleurs sinitrés, au total plus de 150 000$ (ce qui est énorme pour les birmans)........

Comme ci le passage de cyclone dans cette région ne suffisait pas....

mardi 24 juin 2008




Voici les deux reçu pour le transfert de vos dons pour la deuxième fois.
Ce transfert a été fait le 5 juin 2008, pour le montant totale de 1500 euros.
Nous avons faire le don aux deux associations, 1000 euros pour le "FFSS" (Free Funeral Services Society) et 500 euros pour le "NOW Community Workgroup".
Ces deux associations sont en Birmanie et donnent des premiers aides nécesaire pour les sinistrés du "NARGIS"....les services fournies par ces associations sont voici.
1.Distribution de la nourriture.
2
.Distribution des médicaments et les habits.
3.Le dons aux monastère( sac de riz, bougie, savon)
4.Les fournitures scolaire pour les écoliers.
5
.La participations des frais aux constructions des écoles.

mardi 17 juin 2008

MYANMAR: Les besoins en hébergement d’urgence toujours importants
BANGKOK, 17 juin 2008 (IRIN)
- Six semaines après le passage du cyclone Nargis dans le delta de l’Ayeyarwady, au Myanmar, un grand nombre de rescapés ne bénéficient toujours pas d’un hébergement d’urgence adéquat pour les protéger des fortes averses de la mousson, et sont ainsi plus exposés au risque de contracter des maladies.
Un grand nombre de rescapés ont tenté de se construire un hébergement pour se protéger des intempéries à l’aide de matériaux naturels traditionnels, tels que les feuilles de palmier, selon plusieurs travailleurs humanitaires, qui se sont déplacés à travers le delta touché.Ces refuges improvisés, ont-ils expliqué, ne résistent toutefois pas à l’eau. « Six semaines plus tard, il y a encore des gens qui n’ont pas de toit sur la tête », a déploré John Sparrow, porte-parole de la Fédération internationale de la Croix-Rouge (FICR), qui vient de revenir du delta.« Beaucoup de gens ont monté des refuges temporaires, mais ils restent malgré tout totalement démunis. Ils sont tenaces, et ils font tout ce qu’ils peuvent par eux-mêmes, mais cela ne suffit pas ».
À l’heure actuelle, les organisations humanitaires distribuent des bâches de protection, mais leurs efforts ont été entravés par la pénurie de matériel, aggravée par une demande en équipements d’urgence semblables pour les rescapés du tremblement de terre de Sichuan, en Chine voisine.
Problèmes logistiques Les organisations sont également confrontées à des difficultés logistiques pour acheminer les bâches dans les régions touchées et les remettre entre les mains des rescapés.La semaine dernière, selon les estimations de la FICR, seules 22 pour cent des personnes dans le besoin s’étaient vu délivrer du matériel de secours par les organisations internationales.
Dans des abris temporairesEt s’il est vrai que la distribution s’accélère désormais, le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) estime qu’il faudrait encore 500 000 bâches supplémentaires.Le 13 juin, selon les estimations d’OCHA, seuls 160 000 ménages avaient reçu un hébergement d’urgence, généralement sous la forme d’une bâche de plastique.
Graham Eastmond, installé à Bangkok, occupe le poste de coordinateur à l’Emergency Shelter Cluster, un groupe de coordination, composé d’agences des Nations Unies et d’organisations non-gouvernementales (ONG). Selon lui, d’autres bâches arriveront bientôt sur place. Déjà, le département américain de la Défense en a commandé environ 125 000, qui seront prêtes à être distribuées dès le 19 juin, et 110 000 autres, destinées à la FICR, sont déjà en route pour le Myanmar.
La plupart des rescapés qui ont reçu ces bâches ont encore besoin de se voir délivrer des nécessaires ménagers, et notamment des moustiquaires, des couvertures et autres équipements, selon M. Eastmond.Le cyclone Nargis (et l’onde de tempête qui l’a suivi) a fait quelque 133 000 morts et disparus, lorsqu’il s’est abattu sur le pays les 2 et 3 mai derniers, laissant environ 2,4 millions de personnes entièrement démunies.
Besoin d’évaluations Les organisations humanitaires ne connaissent toujours pas le nombre exact des foyers gravement endommagés ou totalement détruits au cours de la catastrophe, mais elles sont en train de réaliser un état des lieux minutieux, qui devrait être achevé d’ici au 24 juin. Cette initiative mobilise plus de 250 représentants des agences des Nations Unies, de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ANASE), de la Banque mondiale, de la Banque asiatique de développement, de la FICR, et de 18 ministères birmans ; dans le cadre de cette initiative, des évaluations de terrain détaillées seront menées dans les 30 communes les plus gravement touchées.
« Nous avons des difficultés, de manière générale, avec le flux d’information », a indiqué M. Eastmond à IRIN, ajoutant que l’évaluation serait fort utile pour permettre aux organisations de mieux adapter leur intervention.Pour l’instant, d’après les estimations de l’Emergency Shelter Cluster, environ 480 000 familles de la région touchée ont perdu leur moyen d’hébergement, bien qu’il s’agisse d’une statistique préliminaire et très approximative, prévient l’organisme.
Femmes enceintes et enfants sont parmi les plus vulnérables.Des dizaines de milliers de rescapés ont quitté les campements temporaires pour retourner dans leurs villages ; selon un rapport publié le 9 juin par le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), les conditions de vie des rapatriés sont « extrêmement déplorables » dans certains villages de Labutta, une région durement frappée par la catastrophe, où se sont rendues les équipes de terrain de l’agence onusienne, et il est urgent d’envoyer d’autres bâches sur place.
M. Sparrow a rapporté qu’il avait rencontré une femme, mère de cinq enfants, dont un nourrisson de sept mois, qui avait réussi à monter un petit refuge ouvert. Lorsqu’il lui a demandé comment elle protégeait son bébé des pluies de la mousson, celui-ci ayant déjà développé des problèmes respiratoires, la jeune mère a répondu : « je le serre plus fort ». Une autre travailleuse humanitaire a indiqué que les bénéficiaires des bâches les utilisaient essentiellement pour protéger de l’eau les structures qu’ils avaient construites eux-mêmes à partir de matériaux naturels. « Quand ils les reçoivent, ils disent "merci, maintenant, nous allons vraiment bien dormir ce soir" », a-t-elle expliqué.
Pourtant, selon M. Eastmond, alors même que la distribution des bâches s’accélère, les organisations commencent à débattre de la meilleure manière de couvrir les besoins des populations en hébergement à long terme.Des équipes sont en train de recenser dans le détail les matériaux de construction en circulation sur les marchés locaux, et d’identifier les travailleurs qualifiés susceptibles d’aider à la construction d’habitations. « La prochaine étape sera celle du relèvement rapide, au cours de laquelle les populations recevront du matériel pour reconstruire leurs maisons. Nous devrions tenter de déterminer la meilleure façon de le faire, ce qu’un kit standard d’aide devrait contenir, en ayant pour objectif de produire un refuge adapté pour une famille. Il y a beaucoup à faire », a-t-il estimé.

vendredi 6 juin 2008
















un exemple du distribution de vos dons

Village Name : Ywar Thit Kone
Location : 45 minutes boat ride from Kun Chan Kone
Transportation : By boat only
People : Karin village Nbr of Families : 83
Living : Betal leaf plantation / Paddy / selling wood
Drinking Water : Rain water Household water use :
From well & rain water Health : No clinic
Education : Primary School
Family Quota
Rice : 8 Pyi
Noodle packs : 10
Mosquito Net : 1
Water bottle : 5 littre ( Due rain water scarce for the time being )
Soap : 1 piece
Tin Can : 1
Beans : 1 small packet
Candles & matches Clothes To Primary School ( Approx 24 students )
Note Book : 25 Dozens
Pencils : 50 Dozens
Eraser : 60 Units
Ruler : 50 Units

Inn Kut Village ( 124 Families ) & Kyaik Pat Village ( 130 Families )
Quota Per Village
Rice Bags : 11
Water bottles : 50 ( 5 litres )
Vermicelli packets : 30
Noodle packets : 60
Mosquito nets : 16 & Clothes

Above two villages have already received One Rice bag ( 24 pyi ) and one bag of household items for every family. But Ywar Thit Kone has not received same amount. So, we decided to distribute mainly to Ywar Thit Kone, and give remaining items equally to the other two villages.

mercredi 4 juin 2008

FFSS to provide support to cyclone orphans
Jun 2, 2008 (DVB)

In an effort to provide educational assistance, the Free Funeral Service Society plans to establish an orphanage for children whose parents were killed when Cyclone Nargis struck Burma in early May.
According to FFSS financial officer Daw Zee Kwat, said the orphanage would take in children who had no one else to look after them.
“We will take care of them in two ways. One way is to send the children to our relatives and others who are willing to raise them,” she said.
“The other way is to set up an orphanage of our own for them in North Okkalapa, Rangoon division,” said Daw Zee Kwat.
The FFSS has been providing relief supplies to cyclone victims in affected areas in Rangoon and Irrawaddy divisions since the cyclone.
So far the group has distributed rice, cooking oil, salt, medicine, clothes, dried fish, pounded fish, tinned fish, cooking pots, plastic sheets, water purifying tablets, plates, bowls, blankets and other supplies worth millions of kyat.
When asked why the FFSS was particularly interested in nurturing children, Daw Zee Kwat said she believed that Burma’s future lay in its children.
“If our children are bright, our country will have a better future – that’s why we are interested in looking after them,” she said.
“We want them to become well-behaved, less selfish and be willing to work for public interest.”
The FFSS will take care of the orphans until their graduation.
Since its inception, the FFSS has been funding its programmes solely with private donations from Burmese nationals living inside the country and abroad. It also has received donations from individual foreigners.

Reporting by Yee May Aung

dimanche 1 juin 2008


Ceci est un reçu pour les transferts de dons.
En bas de Signature la traduction est ceci.
MYINT MYINT KHIN PE
TRESORIER
FREE FUNERAL SERVICES SOCIETY (YANGON)
MYINT MYINT KHIN PE
SHWE ZEE KWAT

mercredi 28 mai 2008


Attendez......il y a eu l'incendie.

La délivrance des visas pour les aides humanitaires IL FAUT ATTENDRE

La junte militaire laisse filtrer au compte-gouttes l'aide humanitaire, mais serre la vis à l'opposition.
Chaque année au mois de mai, c'est devenu un triste rituel pour l'opposition birmane. Et le cyclone n'y change rien. La junte a décidé, hier, de proroger d'un an l'ordre d'assignation à résidence de la figure de proue de l'opposition, Aung San Suu Kyi.
Âgée de 62 ans, la présidente de la Ligue nationale pour la démocratie, le principal parti d'opposition, est confinée chez elle depuis 2003 et a, au total, été privée de liberté pendant plus de douze des dix-huit dernières années. Quelques heures avant cette annonce, les militaires birmans ont arrêté seize militants de la Ligue qui s'étaient réunis pour marquer le 18e anniversaire de la victoire électorale de leur parti, le 27 mai 1990, lors de législatives que l'armée n'a jamais reconnues.
Plus soucieuse des opposants que des sinistrés Le maintien en détention de Mme Suu Kiy a été décidé alors que se poursuit la grave crise humanitaire provoquée par le cyclone Nargis qui, selon les Nations unies, aurait provoqué 133 000 morts et disparus, et 2,4 millions de sinistrés.
Les organisations humanitaires font état de timides ouvertures.
Six employés étrangers de l'Unicef ont été autorisés à rejoindre des équipes de secours birmanes dans la région du delta de l'Irrawaddy, particulièrement touchée par le cyclone. Plusieurs responsables du Programme alimentaire mondial (PAM) de l'Onu ont également été autorisés à s'y rendre.
Le PAM va d'ailleurs assurer l'acheminement de l'aide humanitaire transportée par Le Mistral, qui devrait permettre de nourrir 100 000 personnes durant quinze jours et de fournir un abri à 60 000 sinistrés.
Le navire militaire français, qui se trouvait depuis le 17 mai face au delta de l'Irrawaddy, va être contraint, face au refus des autorités birmanes, de décharger sa cargaison en Thaïlande.

La Birmanie continue d'ouvrir lentement la porte à l'aide étrangère
RANGOUN (AFP)
La Birmanie continuait mercredi à ouvrir progressivement aux humanitaires étrangers le delta de l'Irrawaddy, la région la plus ravagée par le cyclone Nargis, alors que sa décision de maintenir en isolement l'opposante Aung San Suu Kyi soulevait un tollé mondial.
Plus de trois semaines après le passage du cyclone qui a fait au moins 133.600 morts et disparus et 2,4 millions de sinistrés, les organisations humanitaires faisaient état de signes d'ouverture croissants de la part d'une junte militaire jusqu'à récemment hostile à toute aide extérieure.
De nombreux humanitaires étrangers attendent depuis des semaines un visa pour la Birmanie, tandis que ceux qui sont déjà à Rangoun rencontrent des difficultés à être autorisés à se rendre dans la zone dévastée du delta.
Les différentes agences de l'ONU disposent de plus de 200 personnes à Rangoun. Six travailleurs du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) et au moins trois du Programme alimentaire mondial (PAM) ont pu se rendre dans l'Irrawaddy, a indiqué Richard Horsey, un porte-parole de l'ONU à Bangkok.
M. Horsey s'est montré optimiste. "Les plus gros obstacles auxquels nous étions confrontés ont été levés. A partir de maintenant, l'effort d'aide va monter en puissance rapidement", a-t-il affirmé, en soulignant que les autorités birmanes ont adopté "une ligne souple".
"On assiste à un peu d'ouverture", a également estimé une porte-parole de Médecins sans frontières (MSF) à Bangkok, Véronique Terrasse.
Après de longues attentes, MSF a pu envoyer une douzaine d'étrangers dans le delta. Cela n'a pas été le cas pour d'autres organisations.
Florian Meyer, de l'association allemande Arbeiter Samariter Bund, a ainsi renoncé à rester en Birmanie après avoir attendu en vain pendant deux semaines à Rangoun une autorisation pour se rendre dans le delta. "Je quitte Rangoun demain avec beaucoup de frustration", a-t-il témoigné mercredi.
"J'ai dix ans de métier dans l'aide humanitaire. J'ai travaillé dans les Balkans, en Iran, au Sri Lanka et au Tchad. Mais jamais, nulle part, je n'avais éprouvé autant de difficultés", s'est plaint M. Meyer.
La Fédération internationale de la Croix Rouge a également indiqué que 30 de ses expatriés à Rangoun attendaient toujours le feu vert des autorités pour partir dans le delta. "Nous n'avons pas de nouvelles, mais nous continuons à espérer", a déclaré son porte-parole John Sparrow.
Le régime birman a fait une concession en annonçant que les particuliers qui affluent spontanément dans les régions affectées par le cyclone pour y distribuer vivres et vêtements étaient les bienvenus.
Jusqu'à présent, les autorités locales faisaient tout pour les dissuader de réconforter les milliers de miséreux massés au bord des routes pour mendier de l'aide aux voitures de passage.
Le quotidien d'Etat New Light of Myanmar a, par ailleurs, lancé un inhabituel appel aux dons privés, demandant tracteurs, carburants et engrais pour les paysans du delta dont les rizières ont été dévastées et les animaux de trait décimés par le cyclone.
Selon le journal, la catastrophe a provoqué un afflux d'eau de mer sur plus de 4.000 km2 de surfaces cultivées. L'ONU et l'Union européenne craignent une famine, alors que la saison du repiquage du riz a théoriquement commencé.
La junte birmane s'ouvre timidement à l'aide étrangère depuis la visite la semaine dernière du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
Ce dernier a fait savoir que l'aide aux survivants du cataclysme constituait la priorité numéro un des Nations unies en Birmanie, et que la sortie de l'impasse politique pouvait attendre.
La communauté internationale s'est vivement indignée après le renouvellement mardi pour un an de l'assignation à résidence qui frappe depuis 2003 l'opposante Aung San Suu Kyi.
Le président américain George W Bush s'est dit "profondément troublé", le chef de la diplomatie britannique David Miliband attristé et son homologue français Bernard Kouchner a exprimé sa "plus profonde consternation".

mardi 27 mai 2008

INTRUSION HUMANITAIRE EN BIRMANIE:
une nécessité POUR LES SINISTRéS DU «NARGIS »
Nous la communauté birmane de France demandons une intrusion humanitaire en Birmanie.
« LE MISTRAL » attend au large des côtes birmanes pour acheminer plus de 1000 tonnes de fret humanitaire et les quatre autres bâtiments des américains et des anglais ne doivent plus attendre. Alors croyez vous que les sinistrés peuvent attendre encore les aides humanitaires?
Il faut faire en sorte qu'ils reçoivent les aides humanitaires le plus tôt possible.
Depuis le passage de cyclone « NARGIS » en Birmanie, le nombre des victimes ne cesse augmenter. En fait les victimes qui ont perdu la vie pendant le passage du cyclone sont plus chanceux que les rescapés. Les sinistrés sont les morts vivants qui survivent pour vivre en enfer. 48 heures avant le cyclone, les autorités pourtant informées n'ont pas prévenu la population de la catastrophe à venir.
A l'arrivée du cyclone, la junte a accepté les premières aides pour les sinistrés au bout du 4ème jour. L'ampleur de ce catastrophe naturelle est immense, la junte n'est pas capable de faire face aux besoins de l'aide aux sinistrés. Mais le cyclone a montré la vraie nature de la junte au monde entier. Au lieu de donner l'assistance aux victimes, la junte a maintenu le référendum du 10 mai, à part 47 villes dévasté. Le nombre de sans-abris s'élève à plus de 2,6 millions, mais pire encore, il y aura le risque de l'épidémies et la famines pour les 14 millions habitants qui habitent dans cette zone, car la région du delta est le grenier de riz pour la Birmanie.
La meilleure solution est d'envisager une intrusion humanitaire en Birmanie sans attendre l'autorisation de la junte. Ceci n'est pas une acte de guerre, la junte ne peut pas tirer sur les aides humanitaires, C'est une aide pour le peuple birman.
L'ampleur de l'aide nécessite une logistique militaire et non civile.
Chaque heure compte pour les rescapés sans eau, sans nourriture, sans aides dans les zones inondées. .
LA COMMUNAUTE BIRMANE DE FRANCE

vendredi 23 mai 2008

LA BIRMANIE DONNE SON FEU VERT A L'AIDE INTERNATIONAL

Le leader de la junte birmane, le général Than Shwe, a accepté vendredi d'ouvrir son pays à l'aide de "tous les travailleurs humanitaires" sans considération de nationalité, annonce le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon.
Cet accord, s'il se traduit en actes sur le terrain, devrait permettre à l'aide internationale de porter massivement secours aux 2,4 millions de Birmans frappés par le cyclone Nargis dans le delta de l'Irrawaddy, la zone la plus durement touchée.
Ban s'est entretenu pendant un peu plus de deux heures avec le général Than Shwe à Naypyidaw, la nouvelle capitale birmane.
Prié de dire par un journaliste s'il s'agissait selon lui d'une avancée notable, Ban a répondu: "Je pense que oui. Il a accepté d'autoriser tous les travailleurs humanitaires sans se soucier de leurs nationalités."
Un responsable de l'Onu a précisé que Than Shwe avait clairement donné son feu vert aux organisations humanitaires pour se rendre dans le delta. "Le général a dit qu'il n'y avait aucune raison pour que ça ne se passe pas comme ça tant qu'il s'agit de véritables travailleurs humanitaires", a-t-il dit.
Ban a ajouté que le leader de la junte avait aussi donné son accord pour que l'aéroport de Rangoun, l'ancienne capitale, devienne le centre logistique de la distribution de l'aide, qui ne parvient encore qu'au compte-gouttes en raison des restrictions imposées aux organisations humanitaires étrangères.
"Il a adopté une position assez souple sur cette question", a déclaré le secrétaire général de l'Onu aux journalistes.
"J'ai insisté auprès de lui sur le fait qu'il était très important qu'il autorise l'accès à ces travailleurs aussi rapidement que possible et que l'aide soit délivrée aux personnes dans le besoin aussi rapidement que possible", a-t-il ajouté.
"BLOQUÉS À RANGOUN"
D'après des experts, des milliers de personnes pourraient mourir de faim et de maladies dans le delta de l'Irrawaddy, malgré l'ouverture de la Birmanie à une aide d'envergure. Trois semaines après la catastrophe, le bilan officiel fait état de quelque 134.000 morts et disparus.
En l'absence de détails précis sur les modalités de l'accord birman, l'annonce de Ban a suscité le scepticisme de certains responsables humanitaires.
"Rien de tout cela n'a l'air vraiment nouveau", a déclaré Dan Collison de l'organisation Save the Children, à Bangkok. "Les travailleurs humanitaires de nombreuses nationalités sont déjà en Birmanie, mais ils restent bloqués à Rangoun."
Jeudi, le secrétaire général de l'Onu a pu se rendre compte par lui-même de l'étendue des dégâts en survolant en hélicoptère une partie du delta de l'Irrawaddy, ravagé par le passage de Nargis, le 2 mai.
Ban assistera par ailleurs à une conférence de donateurs organisée conjointement par l'Onu et l'Association des Nations du Sud-Est asiatique (Asean), dimanche à Rangoun.
La junte réclame plus de 11 milliards de dollars mais les pays donateurs rechigneront à donner tant qu'ils ne pourront pas vérifier sur le terrain ces besoins, a prévenu le secrétaire général de l'Asean, Surin Pitsuwan.
La conférence de dimanche coïncide avec l'expiration de l'assignation à résidence de l'opposante Aung San Suu Kyi, lauréate du prix Nobel de la paix, mais personne ne s'attend à ce qu'elle soit libérée à cette occasion.
La Birmanie, qui fait partie de l'Asean, a accepté plusieurs vols humanitaires à atterrir à Rangoun, notamment de l'armée américaine, mais a globalement tenu les experts occidentaux à l'écart des zones les plus sinistrées.
Des équipes médicales d'Inde, de Chine, de Thaïlande, du Laos et du Bangladesh travaillent actuellement dans le delta de l'Irrawaddy aux côtés de milliers de médecins birmans et de bénévoles, rapportent les médias officiels.

mardi 20 mai 2008

LES SINISTRES NE PEUVENT PLUS SUPPORTER

Alors que la Birmanie vient d'être touché par le cyclone "NARGIS" le 3 mai dernier, le nombre de victimes fait près de 260 000 morts. Plus de 1,4 millions de sinistrés sans-abri. La junte militaire au pouvoir a refusé durant plus de 10 jours l'arrivée des secours international en bloquant les délivrances de visas, laissant les sinistrés dans la détresse.Depuis le 12 mai les occidentaux travailleurs humanitaires ne sont plus autoriser à quitter Yangon.

Au lieu de donner l'assitance aux victimes la junte a maintenu le référendum du 10 mai, à part 47 villes dévastés. Ce référendum a beaucoup de irrégularités pour avoir approuvé, montre bien que le régime compte se maintenir au pouvoir à n'importe quel prix.

Dans les 47 villes dévasté où la date de référendum est rapporté au 24 Mai; la junte ordonne des évacuations des refuges (monastère, école,......)La junte fait le deuil pour préparer les urnes pour ce référendum.

Des milliers de personnes dans un état misérable et sans endroit où s'abriter ne savent plus comment se refugier dans les prochains jours qui annonce l'arrivé des pluies.

Depuis hier, la junte déclare d'accpeter des aides humanitaires si l'ASEAN coordonne l'aide étrangère aux sinistrés.

Est - ce qu'ils seront à la hauteur?????????????????????????

dimanche 18 mai 2008

YouTube - Nargis @ Myanmar

http://youtube.com/watch?v=qMBlyfckTUs

Regardez vous même.....vous voyez bien que il y a plus de 1,4 millions birmans qui attendent de l'aide . Ne les laissez plus allendre; en quelquesorte ils ont des morts vivants.
Ils survivent pour rester en enfer.

vendredi 16 mai 2008

LES SINISTRES NE PEUVENT PLUS ATTENDRE

We would like to invite you to participate our demonstration in Paris for our suffering people by cyclone in Burma. We need to accept the Humanitarian Aide from international several countries for our people. The natural catastrophe in Burma is our National problem,so we need to press on the SPDC to accepted the international Humanitarian agencies and urge US,UK,France and other key countries no need to waiting the permission of SPDC,to save suffering people in Burma by force immediately.

Date: 17.05.2008,Saturday,
Time: From 14h Place: Square of Human Rights
Metro:Troccadero

Burmese community in France
Htin Kyaw 06 71 48 80 22
Ko Htwe 06 77 49 17 33

jeudi 15 mai 2008

Birmanie: l'Onu veut envoyer un émissaire, la constitution approuvée - MSN Actualités - Actualités

Birmanie: l'Onu veut envoyer un émissaire, la constitution approuvée - MSN Actualités - Actualités
Face à la pression, la Birmanie entrouvre timidement ses portes mer.
mai 14, 2008 par Aung Hla Tun
RANGOUN (Reuters) - La junte au pouvoir en Birmanie, en proie à une pression internationale croissante pour ouvrir en grand ses portes à l'aide humanitaire, envoie un premier signe d'espoir tout relatif en autorisant 160 travailleurs humanitaires asiatiques à pénétrer dans le pays.
Ce personnel humanitaire en provenance du Bangladesh, de Chine, d'Inde et de Thaïlande a été invité par les militaires au pouvoir à participer aux opérations de secours à destination des victimes du cyclone Nargis, qui aurait fait jusqu'à 100.000 morts et disparus dans le delta de l'Irrawaddy.
Ce geste, aussi symbolique que dérisoire, n'est qu'une goutte d'eau en rapport aux milliers de travailleurs humanitaires étrangers qui attendent l'ouverture des frontières birmanes pour lancer une opération de grande ampleur, semblable à celle qui avait suivi le tsunami de décembre 2004 en Asie.
Après avoir craint qu'une dépression tropicale tourbillonnant au sud-est de Rangoun ne se transforme en cyclone dans les prochaines 24 heures, les prévisionnistes se montraient plus rassurants mercredi en fin de journée.
"Cela relève du système de la mousson. Il n'y a pas à s'inquiéter. Il est vraiment peu probable que cela se développe en un cyclone semblable à Nargis", a déclaré à Reuters A.R. Subbiah, du Centre asiatique de prévention des catastrophes naturelles, basé à Bangkok.
A Genève, l'Organisation météorologique mondiale de l'Onu a déclaré qu'elle prévoyait des orages avec des pluies importantes et des vents soutenus mais rien de semblable à un cyclone.
La Fédération internationale de la Croix-Rouge redoute toutefois ces pluies qui "pourraient représenter le pire scénario imaginable" en provoquant des inondations sur des sols déjà saturés d'eau.
LA THAÏLANDE TENTE UNE MEDIATION AVEC LA JUNTE
Le Premier ministre thaïlandais, Samak Sundaravej, a par ailleurs rencontré pendant deux heures et demie son homologue birman, Thein Sein, pour tenter, en vain, de le convaincre d'ouvrir les portes du pays aux personnels étrangers.
"(Thein Sein) a insisté sur le fait que son pays de 60 millions d'habitants avait un gouvernement, une population et un secteur privé capables de s'attaquer au problème eux-mêmes", a déclaré Samak à son retour à Bangkok.
"Il n'y a pas d'épidémies ou de famine. Ils n'ont pas besoin d'experts mais veulent recevoir de l'aide de tous les pays", a-t-il ajouté.
Un avis que ne partage pas Louis Michel, le commissaire européen à l'Aide humanitaire. "Il y a un risque de pollution de l'eau, un risque de famine à cause de la destruction des réserves de riz", a-t-il dit à la presse à Bangkok, avant un déplacement prévu à Rangoun.
"Nous voulons convaincre les autorités de notre bonne foi. Nous sommes là pour des raisons humanitaires", a-t-il ajouté, rejetant l'idée d'une intervention unilatérale de la communauté internationale, sans autorisation de la junte birmane. "Je pense que ce ne serait pas la meilleure solution."
La France avait évoqué cette éventualité mardi lors d'un sommet européen à Bruxelles, appelant les Nations unies à agir, même sans l'accord de la junte, au nom du principe onusien de la "responsabilité de protéger".
L'inquiétude inspirée par le sort des 1,5 million de victimes s'accroît à l'étranger, les Nations unies et des pays occidentaux ayant laissé entendre que les sinistrés étaient peut-être victimes de détournements de l'aide qui leur est destinée.
"C'EST AFFREUX"
D'après des experts, les sinistrés ne recevraient qu'un dixième de l'aide nécessaire dans le delta de l'Irrawaddy.
"C'est affreux. Les gens sont dans un besoin désespéré, ils prient lorsque des véhicules passent à proximité", a témoigné à Reuters Gordon Bacon, coordinateur du Comité de secours internationaux, par téléphone depuis Rangoun.
Le Programme alimentaire mondial, qui est à la recherche d'hélicoptères pour acheminer du riz et des biscuits énergétiques, a déclaré avoir livré de la nourriture à 50.000 personnes et espère venir en aide à 750.000 personnes dans les six mois.
Les rescapés de Nargis, confrontés au manque d'eau, de nourriture et de conditions d'hygiène élémentaires, sont aussi sous la menace d'épidémies comme le choléra. "Si l'aide ne parvient pas à ces gens rapidement, avec des abris et des toilettes, des maladies vont se déclarer", a prévenu Gordon Bacon.
Un haut responsable des services de santé thaïlandais a fait savoir à Reuters que Bangkok allait envoyer une équipe de 30 médecins avec dix tonnes de matériel qui lui permettront de travailler pendant deux semaines.
L'armée américaine a par ailleurs procédé à des nouveaux vols humanitaires, portant à huit le nombre de ses navettes à destination de Rangoun. "Nous n'avons pas de confirmation pour des vols futurs mais nous sommes très optimistes", a déclaré le colonel Douglas Powell.
Trois bâtiments de la marine américaine, qui mouillent dans les eaux internationales au large de la Birmanie, attendent également le feu vert des autorités.

POUR LES SINISTRES

Après le passage de cyclone plus de 100 000 morts dont la plupart sont des enfants et des femmes.Ainsi plus de 42 000 disparus et centaines de milliers de personnes sont sans-abri.Comme vous savez la situation en Birmanie pour les sinistrés est très mal.Les sinistrés ont un grand besoin de l'eau, de la nourriture, des médicanments et des soins médicaux.....sans tout ça le nombre des victimes augmentera à chaque heure. La junte n'accpete pas encore des aides nécessaire. Ce sont des moines et des voisinages qui partagent de la nourriture et l'abri. De notre côté on commence à collecter des dons pour les sinistrés. "La communauté birmane de Frnace" ne possède aucun compte bancaire.Nous collectons de l'argent en espèces et donner en main propre en Birmanie via nos collègues.Mais nous vous donnerons un reçu de vos dons.Ils partiront personnellement sur place dans des endroits difficile d'accès pour donner des aides (médicaments, nourriture,l'eau) C'est un engagement difficile à expliquer ; main nous travaillons avec confiance.Comprenez bien que nous essayons de notre mieux de vous informer comment utilise vos dons.Il y a deux personnes qui s'en chargera pour la collecte de dons et si vous désirer, il y aura un blog où nous déclarons des activités pour les sinistrés du "NARGIS". Ainsi que des dons (anonyme ou pas). Ci-dessus les coordonnés de ces deux personnes de "La communauté birmane de France".Vous pouvez les contacters ces deux personnes directement.
MME KHIN ZIN MINN 06 82 76 22 25
zinminn@hotmail.com
11 RUE HENRI DUNANT
93800 EPINAY SUR SEINE



LA COMMUNAUTE BIRMANE DE FRANCE
HTIN KYAW LWIN

mardi 13 mai 2008

DES PLUIES DILUVIENNES RALENTISSENT LES SECOURS EN BIRMANIE

par Aung Hla Tun
RANGOUN (Reuters) -

Les pluies diluviennes qui s'abattent sur le delta de l'Irrawaddy, dans le sud de la Birmanie, entravent la distribution des secours aux rescapés du cyclone "Nargis", dont le nombre est estimé à plus d'un million et demi.
Onze jours après le passage de "Nargis", l'aide humanitaire arrive toujours au compte-gouttes dans les zones sinistrées et de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer l'attitude de la junte militaire au pouvoir, accusée de fermer ses frontières aux équipes de secours internationales.
"La réponse du régime birman à la crise est absolument impitoyable et ceux qui en payent aujourd'hui le prix sont des personnes qui souffrent depuis longtemps", a estimé le Premier ministre australien Kevin Rudd.
Au lendemain de l'arrivée d'un premier gros porteur américain C-130, un avion australien a atterri à Rangoun avec à son bord 31 tonnes de produits de première nécessité, de kits sanitaires, de couvertures et d'eau potable.
Deux autres appareils américains doivent atterrir dans la soirée en Birmanie, un pays décrit par Washington quelques jours plus tôt comme un "bastion de la tyrannie".
Pendant ce temps-là, des dizaines de milliers de personnes sont toujours dans l'attente d'une aide humanitaire, réfugiés dans des monastères, des écoles, et dans tout autre bâtiment que le cyclone n'a pas emporté.
En proie à la famine, au manque d'eau potable et à des conditions sanitaires déplorables, les rescapés de "Nargis" doivent par ailleurs faire face au danger du choléra.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a toutefois déclaré mardi qu'aucun cas n'avait été détecté pour l'heure.
Les pluies diluviennes qui s'abattent sur le pays n'arrangent en rien la situation, ralentissant considérablement l'acheminement de l'aide internationale.
"Je me trouve dans un endroit où il y a actuellement près de 10.000 personnes sans abri et il pleut à verse", a témoigné notamment une responsable de la Croix Rouge internationale, Bridget Gardener.
"TOUS LES MOYENS"?
Les mauvaises conditions météorologiques conjuguées à l'inflexibilité des généraux birmans plongent le pays dans une situation catastrophique où les agences internationales semblent impuissantes, suspendues à un geste d'ouverture de la junte.
Le Programme alimentaire mondial (Pam) a ainsi indiqué lundi qu'il était en mesure de livrer seulement 20% des 375 tonnes journalières qu'il faudrait normalement distribuer aux rescapés.
De même, l'association Médecins sans frontières (MSF) a dit que ses membres, toujours bloqués à la frontière thaïlandaise dans l'attente de visas, faisaient face à "des restrictions de plus en plus importantes" de la part des autorités de Naypyidaw (NDLR: nouvelle capitale des généraux).
De retour d'une expédition à Bogalay, où au moins 10.000 personnes ont trouvé la mort, un homme d'affaires birman a affirmé que l'armée s'appropriait directement l'aide humanitaire internationale.
"Il y a toujours des villages dans des zones très touchées où des personnes sont dépourvues de tout", a indiqué cet homme ayant requis l'anonymat.
"Autour de Bogalay, les donateurs privés n'ont pas le droit de distribuer l'aide directement aux victimes. Nous avons dû laisser sur place ce que nous avions", a-t-il poursuivi.
A New York, le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon a exprimé sa "immense frustration" et son "grande préoccupation" par rapport la "lenteur inacceptable" de la distribution de l'aide internationale.
Le Haut représentant de l'Union européenne dans le domaine des Affaires étrangères, Javier Solana, a estimé de son côté qu'il fallait utiliser "tous les moyens" pour contourner la fermeté birmane, évoquant à Bruxelles la possibilité de largages de colis humanitaires dans certaine régions, hypothèse susceptible de provoquer l'ire de la junte.
L'Onu estime que le passage de "Nargis" pourrait avoir fait près de 100.000 victimes alors que le dernier bilan officiel fourni par les généraux birmans fait état de près de 32.000 morts et d'environ 30.000 disparus.
Aung Hla Tun, version française Olivier Guillemain

Birmanie: Ban Ki-moon dénonce la lenteur "inacceptable" des secours - Générale - Fil infos - Le Vif/L'Express

Birmanie: Ban Ki-moon dénonce la lenteur "inacceptable" des secours - Générale - Fil infos - Le Vif/L'Express

United Nations to apply "responsibility to protect" doctrine to force international aid into Myanmar Petition

United Nations to apply "responsibility to protect" doctrine to force international aid into Myanmar Petition

lundi 12 mai 2008

NARGIS AU MYANMAR

Plus de 100 000 morts pendant le passage; mais il se peut que le nombre augmente au fils du temps.
Jusqu'à maintenant les aides de premiers nécessité n'aarivent pas aux sinistrés.
Mais les fournitures pour les sinistrés sont exposé dans les superettes.....qui les vends aux marché????
Alors n'attendez plus pour agir.